La semaine s’annonçait chargée avec le programme suivant :
- running habituel (env. 75 km) ;
- le #GlobalRunningDay avec l’hôtel Westin Paris ;
- du vélo grâce à la grève SCNF et mon test du Polar V650.
Au final, kilométrage de 89,8 km de running.
La semaine s’annonçait chargée avec le programme suivant :
Au final, kilométrage de 89,8 km de running.
Mardi dernier, j’ai commencé mon test des Merrell MQM FLEX GTX au Vieux Campeur avec des spécialistes de chez Merrell et Gore-Tex.
Cette chaussure de randonnée légère et flexible possède la dernière technologie en matière de laminé Gore-tex.
Pour effectuer ce premier test, nous – une quinzaine de personnes – avons fait une balade de 8 km dans Paris.
J’ai acheté ma première Polar au milieu des années 90 quand j’étais sprinteur et cela me servait à surveiller mon rythme cardiaque lors des séances de foncier (du type 10 à 15 fois 300 ou 400 m).
J’étais un OVNI mais je trouvais cela utile de savoir si je ne dépassais pas mes capacités.
À cette époque Polar n’avait pas de concurrent et c’était seulement un moniteur de fréquence cardiaque. Pas question de suivi via GPS.
Il y a 18 mois, j’avais testé le Polar M600 et j’avais été quelque peu déçu. C’était un modèle pour geek qui fait du sport et non l’inverse. En plus, elle fonctionnait avec Android Wear.
Ce n’est pas du tout le cas avec la M430, pour moi, la M430 une vraie montre de sport.
25/10/2015 – Hier, j’ai profité d’un samedi calme avec Colomba pour faire du shopping.
On est donc passé au BHV et en cherchant une boîte et/ou une pochette pour mon jeu de cartes de Dixit, je suis allé au rayon bagagerie et je suis tombé sur la marque Hedgren et leurs produits : des bagages qui rechargent vos appareils électroniques.
Ce sont des bagages qui intègrent un battery pack amovible. Ainsi vous pouvez recharger efficacement et en toute discrétion vos portables, ordinateurs, …
Je n’ai pas pu essayer mais c’est très intéressant.
Autre caractéristique intéressante : la protection contre le piratage des puces RFID. Cela m’a interpelé car je suis l’heureux possesseur d’une protection anti-piratage pour ma carte bancaire.
Je vous laisse découvrir cette gamme de produits : hedgrenconnect.com.
J’attends vos retour.
Grâce au partenariat monté entre Skechers et la Runnosphère, j’ai pu tester les Skechers Go Run 3.
Avant pour moi, les Skechers étaient synonymes de people – cf. Britney Spears fin des années 90 – début des années 2000.
Toutefois depuis 3 ans, Skechers – équipementier de chaussures n°3 mondial – a décidé de se développer dans le secteur du sport et de la performance.
Cela s’est confirmé par le sponsoring du marathonien Meb Keflezighi, récent vainqueur du marathon de Boston.
Pour effectuer mon test, j’ai décidé de parcourir une centaine de kilomètres dans diverses conditions : de la séance normale sur route, au cross du Figaro 2014.
Par ailleurs, actuellement je cours aussi avec des Saucony Peregrine 3, des Virrata et des Altra The One. Ceci me fournit donc une bonne base de comparaison. Le kilométrage n’est pas à jour pour mes Peregrine …
J’avais un à priori défavorable pensant que l’amorti allait être trop fort.
Quand on chausse les Go Run 3, on se croit dans un chausson et je n’ai pas vu Usain Bolt courir avec des chaussons donc, méfiance.
Pour diminuer l’amorti, j’ai choisi de faire mon premier entraînement sans la semelle intermédiaire amovible. C’est sûr moins d’amorti, mais avec mes pieds très fins, j’ai eu la désagréable sensation de flotter ans la chaussure.
Néanmoins j’ai senti un bon compromis entre amorti et dynamisme.
Pour mon deuxième entraînement, j’avais remis la semelle intermédiaire.
Là, ce fut un bonheur : confort, amorti juste comme il faut et surtout un dynamisme que je n’aurais pas soupçonné : super. D’autant plus qu’elle favorise une foulée médio-plantaire qui porte vers l’avant.
Après la semelle, on y reviendra grâce au cross du Figaro, passons à la toebox : littéralement, la boîte des orteils. Et bien, elle est assez large pour que je ne ressente aucune sensation de compression au niveau des orteils et c’est un très bon point pour moi qui suit habitué à avoir toute la place nécessaire, notamment avec mes vivobarefoot de ville.
Avec une chaussure dynamique, large, le test s’annonçait concluant.
Il s’agissait donc de la tester en course.
Je n’ai pas un calendrier de courses très fourni cette année, mais je profite d’un cross du Figaro s’annonçant assez sec pour les utiliser.
Et bien, je n’ai pas été déçu, légères, réactives, juste ce qu’il faut d’amorti pour éviter de se faire mal sur les cailloux – le parc de Saint Cloud n’est pas une piste de Formule 1 – au final une course bien gérée avec de très bonnes sensations.
Avant de conclure 2 métriques utiles : 210 grammes en 10,5 US (44,5) et un drop de 4 mm.
À la lecture de ce compte-rendu, vous vous doutez sûrement du verdit : c’est une chaussure tip top que je recommande.
J’aimerais bien tester les Go Meb Speed 2 testées par mes collègues de la Runnosphère, ce doit être de la bombe. Peut-être bientôt qui sait.
Retrouvez Skechers sur la toile :
Mise à jour du 2/07/2014
Je me suis mal au gros orteil droit il y a 2 semaines : gros choc en cognant quelque chose que je n’ai pas vu et l’orteil a bien gonflé au niveau de l’articulation. J’ai dû m’arrêter de courir pendant une semaine.
J’ai fait une première tentative de reprise après une semaine avec une chaussure large, à l’amorti modéré mais réelle tout en restant dynamique : la Go Run 3 bien sûr 🙂
Toutefois, restant sage, j’ai encore patienté et j’ai recommencé aujourd’hui toujours avec mes Skechers : good choice 🙂 🙂
Merci qui ? Merci Skechers.