Mon histoire
Je commence le sport il y a plus de 40 ans par le judo.
Mon père, le jour de mes 8 ans vient me demander si je veux toujours faire du judo. Je réponds oui et le jour même, c’est un samedi, je fais mon premier cours.
J’en ai fait jusqu’à mes 13 ans.
Entretemps, je me mets à l’athlétisme via l’école d’athlétisme de la Roche sur Yon à 10 ans.
Je suis la route de mon père qui a toujours été sportif et mon modèle de toujours.
Dès lors, je me consacre à la vitesse et aux sauts.
Je suis doué et pendant ma longue carrière d’amateur – j’ai arrêté à 26 ans – je participe à tous les types de compétition des départementaux aux championnats de France (100 m, 200 m, 110 m et 400 m haies, saut en longueur et en hauteur, relais).
Malgré les dons, je travaille tout le temps la technique car les résultats « c’est 10 % de don, 90 % de transpiration » et comme quelqu’un l’a écrit « Talent is overrated » (mettre le lien).
Je me rappelle les séances de Préparation Physique Généralisée – PPG – (talons fesses, montées de genoux, multi bonds, travail de pieds, etc.).
Sans parler des séances de foncier à base de 300 m, 400 m, en pyramides, etc.
Bref la technique était omniprésente.
A 26 ans, étant entré dans la vie professionnelle depuis un certain temps, je n’arrive plus à concilier les entraînements en club – j’étais au Racing Club de France à l’époque – et mon travail d’ingénieur de développement en ESN (ex-SSII).
Par conséquent, je quitte le stade, le sprint et les autres disciplines qui m’avaient fait rencontrées Carl Lewis – mon idôle absolue – à Villeneuve d’Ascq.
Je bascule dans le monde de la course sur route.
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